Une nouvelle édition qui a apporté les premiers éléments scientifiques montrant que la vaccination au couvoir avec les nouveaux vaccins vectorisés et immun-complexes, permet non seulement de protéger les volailles mais également de prévenir les maladies en diminuant leur propagation et donc la circulation des virus.
Pendant plus de quatre-vingts ans, les antibiotiques ont protégé aussi bien la santé humaine qu’animale. Préserver leur avenir grâce à une utilisation raisonnée est devenu une priorité pour les gouvernements, les autorités sanitaires, les vétérinaires et les éleveurs de volailles. La production avicole sans antibiotique engendre de nombreux défis et des enjeux en matière de bien-être animal. Alors que les consommateurs réclament une alimentation toujours plus saine, pouvons-nous répondre à cette attente tout en garantissant que les animaux malades soient traités de la meilleure manière possible ?
Les éleveurs font actuellement face à de nombreuses difficultés afin d’ajuster leurs systèmes de production. Parmi les changements nécessaires, l’un des plus cruciaux est de parvenir à une meilleure gestion de l’état de santé à la fois de chaque animal et de l’ensemble de la production. Depuis l’apparition des premières affections respiratoires aviaires virulentes à la fin des années 1950, l’industrie mondiale livre une bataille permanente pour protéger les élevages contre ces maladies grâce à des programmes de vaccination et de biosécurité.
La vaccination a été considérée comme étant efficace lorsqu’elle permettait de prévenir ou de réduire les symptômes cliniques des élevages affectés. L’utilisation à grande échelle des vaccins basés sur les nouvelles technologies comme Transmune™, Vectormune ND™ et Vectormune AI™, associée à une application améliorée au couvoir, apporte des bénéfices allant au-delà de la simple protection contre la maladie. Plusieurs études ont démontré que ces nouveaux vaccins vectorisés et immun-complexes réduisent également le risque d’apparition des maladies dans les élevages et donc la probabilité que les animaux soient malades.
Dr Sylvain Comte, Directeur de la Franchise Volaille chez Ceva Santé Animale précise : « Les essais dans les exploitations et les travaux associés des scientifiques et des producteurs avicoles ont montré qu’une application régulière et correcte des vaccins basés sur les nouvelles technologies permet aux producteurs à la fois de contrôler et de réduire la pression des maladies, aussi bien pour les élevages actuels que futurs. Les vaccins diminuent ainsi le risque de maladie clinique ou sous-clinique et donc la probabilité qu’il soit nécessaire de traiter les animaux avec des antibiotiques. »
L’engagement de Ceva Santé Animale envers une utilisation raisonnée des antibiotiques est mis en avant par des programmes centrés sur la protection et la réduction de la propagation de la maladie. Cette approche a pour objectif de s’assurer que les exploitations aviaires soient plus saines et moins exposées aux infections bactériennes, pour répondre aux besoins aussi bien du consommateur que des producteurs avicoles. Ceva Santé Animale contribuera ainsi à l’amélioration de l’état de santé des animaux et aidera le secteur à faire face à ses nouveaux défis pour une production sans antibiotique.
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